vendredi 9 mars 2012

Yves Sioui-Durand

Mes ancêtres iroquois ont maintenu jusqu’à nous cette idée fondamentale : on devient humain lorsque l’on reconnaît la perte, que l’on pleure, que l’on s’émeut et que l’on traduit cette émotion en mémoire.
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Les angoisses primaires des premiers hommes sont les nôtres et, en situation de régression, on se retrouve dans leur position. Il nous faut apprendre des civilisations qui nous ont précédées pour savoir qui nous sommes.

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Bibliographie

- Cassandre/Horschamp n°87, automne 2011

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Site internet : www.ondinnok.org

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